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« Rien à foutre ! » la réponse cinglante des joueurs du PSG aux provocations de Lamine Yamal après la victoire face au Barça

Le choc entre le PSG et le FC Barcelone en Ligue des Champions a tenu toutes ses promesses, aussi bien sur la pelouse qu’en dehors. Avant la rencontre, Lamine Yamal avait promis « l’enfer » aux Parisiens, soutenu dans ses propos par Pedri.

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Lamine Yamal

Mais au final, c’est bien le club de la capitale qui est sorti vainqueur de ce duel européen, et les joueurs n’ont pas manqué de répondre aux piques lancées par le jeune prodige espagnol.

En zone mixte, Vitinha « Il y a souvent des déclarations avant les matchs et ça peut se passer. Nous, on n’en a rien à foutre. On s’en fout, on veut juste jouer le match, on a gagné et on est content pour ça » et Gonçalo Ramos « Tu dois le montrer sur le terrain, pas parler », ont répliqué après le coup de sifflet final. Des réponses sèches, destinées à rappeler que les paroles ne suffisent pas à faire la différence dans un match de ce niveau. Avec cette victoire de prestige, le PSG a envoyé un signal fort à ses adversaires, prouvant qu’il possède l’expérience et la solidité pour répondre dans les moments de vérité.

Une rivalité toujours plus intense

Les joueurs parisiens ont montré qu’ils n’avaient pas besoin d’entrer dans une guerre verbale pour s’imposer. C’est par leur intensité, leur maîtrise tactique et leur efficacité offensive qu’ils ont construit ce succès face à une équipe barcelonaise pourtant déterminée à marquer les esprits. La réponse sur le terrain a été à la hauteur des ambitions du club.

La confrontation entre le PSG et le Barça s’inscrit dans une histoire riche en rebondissements. Cette victoire parisienne vient ajouter un nouveau chapitre à cette rivalité européenne. En fermant le débat par une prestation solide et une victoire méritée, les hommes de Luis Enrique rappellent qu’au-delà des mots, ce sont les résultats qui forgent les légendes.

Pour le PSG, le message est limpide : les promesses et les déclarations n’écrivent pas l’histoire, seuls les actes comptent.

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